Chronique

[hrp]Voila, un petit message de Yumie, m'a decidé a posté ici aussi une petit chronique dans laquel je me suis lancé. Le conscepte est simple, tout les dimanche soir, j'ai 50min de train à tuer, alors je vais écrire un peu et vous le posté ici.

Bon au début c'est un peu brouillons, normalement, c'étais une histoire sans fin, un truc a lancé ici aussi [/hrp]


Ahhh Kartival, comme tu est belle ce matin. Capitale de notre royaume, grande cité côtière, tu es en plaine effervescence. Les foules venues des quatre coins du royaume accourraient vers la ville de lumière. Dans la ville, tous les quartiers sont en agitation. Une grande fête se prépare. Les jeux sont de retour en ville! Après plusieurs générations d'absence, ils sont de nouveaux là.
Mais le temps me manque, je ne sais pas si je pourrai y aller. Pourvu qu'il soit là. Cela fais déjà trois jours qu'il aurai du être là. Pourvu qu'il ne lui soit rien arrivé. Je ne suis pas le seul à l'attendre.

Bon, il faut que je me rende au port, il arrivera surement par la mer. Clozar Parti en direction de "La dernière cloche", bar marin le long de quai. Là-bas, il savait qu'il trouvera surement des informations sur tout les convois maritimes et peu être plus qui sait. Dans cette taverne, il y avait tous les maux de la création, la milice n'y passait que rarement et une salle double avait été aménagé pour les histoires qui ne regard pas le grand publique. Boris, le tenancier avait jadis eu une rixe avec un des brigadiers en chef de la milice et depuis lors, il était tranquille.

Un peu plus loin, Salina déambulait dans les rues débordantes du centre. Toute cette agitation, la proximité des gens. Elle aimait les foules. Toutes les foules, mais des foules d'avant fête comme celle-ci, il n'y en avait rarement et elle n'en avait plus vu depuis plusieurs mois. Passant d'échoppes en échoppes, elle regardait autant les objets à vendre que la masse de personne autour des marchants. Son regard fut attiré par une étrange boutique. Elle y vendait de somptueux…

Dans le port, les matelots s'afféraient, de nouveaux navires arrivaient avec une continuité qui ne dépendait que de l'ouverture portuaire, certains navires venaient de très loin. Le déchargement en vus des jeux était un travaille complexe, les quais étaient surchargé. Un lieu de rêve pour la contrebande. Clozar décida de sortir pour voir si des nouvelles étaient arrivées depuis.
Une fois sur le quai, il attrapa un homme, plus richement vêtu avec un livre à la main, surement le responsable des bateaux.
"Dites voir messire, savez vous si "la goélette grise" est arrivée?"
L'homme le regarda avec un aire interrogatif, jugent son interlocuteur avec rigueur, il le regarda de nouveau. Clozar senti que les choses n'avancerai pas vite, il sortie une pièce. Le vissage de l'homme devint soudain plus souriant. Il prit la pièce et ouvrit son livre, prêt à chercher dedans. Pendant ce temps, Clozar regardait dans le port. C'est alors qu'il vit un autre navire. C'était le "Bristol" un fière navire marchand, il savait qui était à son bord, et que si la goélette n'était pas la, il irait rendre visite à un vieil ami.
C'est alors que le livre lui apprit que son bateau était arrivé il y a 1 heure, qu'il était au ponton 9. Clozar remercia l'homme d'un geste rapide avant prendre la direction de la goélette.

Dans la foule, Salina naviguait de marchant en marchant. Quand soudain, elle trouva ce qu'elle cherchait; une bonne bourse bien rempli. Son porteur, d'une quarantaine d'année et appartenant à cette classe de la population que Salina aimait bien, la bourgeoisie. Avec un peu d'embonpoint, ce riche notable vivait surement comme ses habits laissaient transparaitre. Une femme pendu à son bras laissait penser à Salina qu'il serait possible de le séduire. Elle se lança donc sur lui, ne sachant pas quoi lui dire, mais cela viendrai surement le moment venu. De plus si ces gestes sont sur, ils ne seront que moins flagrante si on peut lire sur son visage une expression de confusion plus ou moins véridique.
Salina tourna la tête, le moindre petit détail était soigné. Un coup d'épaule, une main qui glisse, un coup de couteau. En un clin d'œil, le tout était rentré et elle dit:
"Milles excuses messire, je ne vous avais pas vu."
Devant le buste de Salina l'homme hésita un instant et répondu enfin:
"Ce n'est pas grave, je ne vous ai pas fait mal au moins"
La femme à son bras regarda la scène avec un regard noir, n'osant se tourner vers elle, Salina sentait une haine émaner de la femme.

Il arriva au ponton numéro 9 d'un pas rapide, empressé de le voir. Les matelots s'afféraient déjà à décharger le navire, il du donc les esquivés. Manquant de justesse de finir dans l'eau ou écrasé par un baril il atteint enfin le pont. Le déchargement allait bon train et le bateau serait surement bientôt prêt à un nouveau départ. Il se dirigea alors vers la poupe en quête des cabines. Interpelant un homme à bord, il demanda le nom de Tork.
"Cabine de gauche, mais il ne doit pas être bien, il n'est pas ressortit depuis 3 jours." Lui répondu-t-on.
Il frappa à la porte et entra. C'est alors qu'un immonde fumet lui parvint aux narines. Se cachant le nez dans ca manche, il découvrit lentement la pièce. Visiblement elle avait été saccagé visiblement les informations de Tork étaient très intéressantes.

Après un petit moment de mise au défit, Salina remercia gentiment le seigneur sans un regard pour la femme qui l'accompagnait. Se tournant délicatement, elle se fondit dans la foule comme elle le savait si bien le faire. Rapidement, elle prit une petite ruelle. Juste à temps pour entendre un juron s'élever de la foule. Ne regardant pas en arrière, elle se dirigea aussi vite que possible dans le cartier résidentiel de la ville. En chemin elle trouva une taverne qui ferai très bien l'affaire afin de voir combien était grand le péché qu'elle venait de commettre.
Entrant dans un endroit si raffiné, elle ne se sentie pas a l'aise. Effectivement, bien que ces habits ne soient pas des loques, ils n'étaient pas dans le gout. Elle prit discrètement une place à une table, regardant la salle, décodant les clients autant que le tavernier.
Bien sur, au bar, on trouvait deux piliers de bar tenant entre leurs mains une bière qui pourrait ressemble à leur vie, c'est-à-dire presque vide. Il y avait un jeune couple une table plus loin, ou l'homme visiblement éperdument amoureux tentait désespérément d'accaparer toute l'attention de la femme qui visiblement n'écoutait que d'une oreille. Avant que le tavernier ne vienne chercher la commande de Salina, un homme entra en hâte. Il courrait à moitié, et partie dans une seconde salle, après avoir adressé au tavernier un salut plus que sommaire.
Ce n'est que lorsque la salle fut passé au peine fin, que la commande était passé, que Salina se résolu à ouvrir cette bourse, symbole - au poids - à une semaine de salaire conventionnel.
A première vu, il y avait environ 30 pièces de cuivre joliment accompagné de 7 pièces d'argent. Mais un petit billet était également glissé dedans.
"Premier samedi de la 3ème lune, rendez vous à Kartival, au dans la taverne "chez Roger" à 13heure".
Intriguée, elle retourna machinalement le billet pour y découvrir un petit mot: "A l'attention de Sir Loranet".
Mais quel genre de rendez-vous étais-ce? Le samedi en question était demain, elle ne pouvait se résoudre à manqué une telle affaire, par pur curiosité, c'est sur elle en serait.

Prenant son courage à deux mains, Clozar entra dans la pièce. Il se rua sur la fenêtre et l'ouvrit afin que l'aire nauséabonde disparaisse le plus vite possible. Après cela, il observa plus en détail la cabine. Une Table était au milieu, avec de chaises, enfin, ce qu'il en restait. Mise à part la table casée en deux, il y avait plus que deux dossiers et du petit bois. Le bureau était recouvert d'un tas de feuille tout comme le sol qui en était à proximité. Il n'y avait du reste gère de partie du sol visible. S'approchant du bureau, il commença à cherché des informations. Ouvrant tout les tiroirs, il ne trouva pas grand-chose. Evidement son prédécesseur avait déjà prit toutes chose intéressantes. C'est alors qu'il tomba sur un tas de lettres. Elles venaient toutes du même expéditeur. Clozar ouvrit la première enveloppe, mais elle était vide. Comme toutes les autres. Il n'y avait plus que les enveloppes. Il y avait quelque chose de louche là dedans. Pourquoi les gardé? A moins que ce ne soit pas Tork qui en ai jetés le contenu, mais quelqu'un l'aurait prit.
Sir Loranet! Mais qui est-ce donc? Pour quel raison Tork et lui tenait une correspondance?

A la suite de cette découverte, Colzar continua a fouillé la chambre. Son attention se porta sur l'armoire. Lorsqu'il l'ouvrit, le corps de Tork lui tomba dessus. Avec un sursaut de surprise, Colzar regarda le corps sans vie atterrie dans le tas de vêtements au pied de l'armoire. A en compte les mouches, il était mort depuis quelque jours déjà, le crime avait donc été commis durant le voyage. Et à en juger les marques sur ca nuque, cela avait été fait durant son sommeil avec un petit lacet.
C'est alors que la porte s'ouvrit. Alerté par l'odeur, les matelots avait débarqués. Clozar ne prit pas le temps réfléchir. Sans se retourné, il sauta par la fenêtre.

Nageant jusqu'au ponton, il ne prit pas la peine de savoir si il était suivit. Il courut en direction de la ville et de ces petites rues, afin de pouvoir semez ses poursuivants.
Une fois sortie du port, il se retourna pour observer ces éventuels poursuivant. Effectivement, l'alerte avait été donnée, les marins sur le pont fouillait déjà du regarde le port. Il prit alors l'aire le plus décontracter que possible et sans courir, mais en pressant bien le pas et parti discrètement. Après c'être assurer qu'il n'était pas suivit, regagna son logis.

Salina rentra chez elle, la journée avait été plus que fructueuse et elle voulait se préparer pour samedi. Elle appréhendait ce rendez-vous. Mais qui avait rendez vous avec ce seigneur? Pourquoi? Son caractère et son métier la poussa à aller voir les lieux. Arrivant sur place, découvrit une jolie taverne avec une terrasse couverte d'une glissinne en fleur. Malgré le temps radieux, elle se posa à l'intérieure. Il était 18heure, juste le temps du thé. En entrant elle fut fortement surprise. La taverne qui avait l'aire si grande à l'extérieur ne possédait que quatre tables à l'intérieur. Le tour de la clientèle fût donc vite fait. A son entrée, le tavernier leva le nez de son journal et la dévisagea de la tête aux pieds. Salina s'assit à une table, regardant les autres clients en attendant que Roger vienne prendre ca commande. Observant tout les faits et gestes, à la recherche de petits détails trahissant tout de leur vie. Roger arriva enfin, pour prendre une simple commande. Au moins, elle aurait du temps à passer ici sans trop éveiller les soupçons. Au bout de quelques minutes, un homme entra. Il était presser et boitait bizarrement du côté gauche. Lors de son arrivée Roger sembla beaucoup plus rapide. A peine avait-il levé les yeux de sont journal qu'il était déjà près de l'homme. Roger aida l'homme, ils pénétraient dans une petite porte à l'arrière de la sale. Un bruit feutrer se fit ensuite entendre. Il y eu un instant, le même bruit fut reproduit, juste avant de voir réapparaitre Roger.

A peine le tavernier avait reprit sont journal, qu'une troupe de la milice entra avec vigueur. Il cherchait un homme qui ressemblait fortement à l'homme blaisé. Après avoir aussi vite dévisagé les clients que Salina, ils demandaient l'autorisation de fouiller la taverne. Demande qui était plus une information qu'une demande de permission.
Salina regarda avec une attention discrète lorsque les soldats entrèrent dans la pièce. Etonnamment, ils y ressortirent aussi vite qu'ils y étaient entrés. Visiblement les doutes de Salina étaient confirmés. Il y avait bien un lieu caché dans cette taverne. Le tenancier était dés plus stressé. S'il ne se calmait pas, la cachette allait être découverte. Salina vint à son secoure en lui parlant des soldats et de leur manière plutôt rustre. Assez discrètement, mais juste assez fortement pour que le capitaine entende.
"Sachez ma petite dame que nous cherchons un homme des plus dangereux."
A la fin de son thé, elle paya et se dirigea rentra chez elle. Elle avait de travaille pour demain. Il lui fallait concevoir un autre costume.

Après quelque sous donnés à droite à gauche, Colzar connaissait le nom de la villa de Sir Loranet. A la nuit tombée, il décida de rendre visite à se cher sir. Il arriva sur le lieu au environ de minuit. En arrivant devant la porte, il renonça bien vite à la façon de convenable de faire son entrée. La prote était bien garder et il n'avait aucune excuse pour déranger un le propriétaire des lieux à cette heure. Il entreprit donc de passer pas la porte dérobé.
Les murs étaient hauts, visiblement bien épais, mais assez rugueux pour les escalader. Il entreprit sont ascension, caché derrière un arbre. Arrivant au sommet du mur, il découvrit la villa avec son jardin et appréhendait déjà les ennuis qui l'attendaient.

C'était une villa à deux étages, muni d'un toit plat. L'entée était sur la gauche. Malheureusement, la pelouse c'étendait jusqu'à la maison. Quelque rare buisson peuplai le jardin. Un magnifique rosier était aux abords de la maison. Pour en profité, Colzar décida de faire un petit détour par la droite. Après avoir rejoint le rosier, il attendit quelque instant pour vérifier l'activité de la maison.
Rien, il n'y avait aucune lumière, le calme et le silence emplissaient la nuit. Il lui fallait trouver une fenêtre ouverte afin de pouvoir siniser dans la maison. Après avoir essayé cinq fenêtres, il se résigna à être chanceux et commença a pensé de plus en plus à l'effraction. Il prit donc sa veste, enroula son poing dedans. Il se mit devant la fenêtre de ce qui sembla être la cuisine. D'un petit coup sec, il brisa un carreau et ouvrit la fenêtre de
l'intérieur.
Une fois entré, il commença par écouter. Vérifier si personne ne l'avait entendu. Après être certain qu'il n'avait réveillé personne, il entreprit la fouille de la demeure pour y trouver le Sir Loranet et avec lui, pourquoi pas des réponses à ces questions. Il commença directement avec le premier étage. Marchant bien sur le bord des marches, afin de ne pas les faire grincer, il arriva sans encombre devant la première porte. La sureté était primordiale il écouta donc à la porte avant de se demandé comment l'ouvrir. Aucun bruit ne se fit entendre, il décida donc d'ouvrir la porte.
Coup de chance, visiblement la première était la bonne, le voila dans une chambre richement décorer, finement raffiné. S'approchant discrètement du lit, il découvrit peu à peu de long noir. Visiblement cette chambre n'était pas la bonne, dommage.
La deuxième porte paraissait tout aussi tranquille, mais impossible de l'ouvrir. Il lui fallait la crocheter. En deux mouvements, il entendit un petit bruit métallique, symbole de la réussite.
Une fois à l'intérieur, il découvrit une autre chambre identique à la première, mise à part que le bureau avait troqué les tube de rouge à lèvre part des morcèlements de choses divers et varier.
Colzar chercha un nom sur le bureau, quelque chose qui pourrait lui indiqué qui dormait dans le lit. A la simple lumière d'un rayon de lune au travers des volets, il trouva une lettre ouverte. Elle était belle et bien destiner à Sir Loranet. Il l'avait enfin trouvé.
Il s'approcha silencieusement du lit, et sorti une dague. Il la posa discrètement sur les lèvres de l'homme emporté par un sommeil douillait. Au contacte froid du métal, l'homme fut tirer de son sommeil rapidement. Ces yeux grands ouvert treillissait toute la surprise dans son regarde.

"Sir Loranet?" Questionna doucement Colzar.
Incapable de répondre l'homme approuva de la tête.
"Bien, si je vous dis "Tork", à quoi pensé vous?"
Le visage de Loranet changea d'expression, passant de la surprise à la méfiance en passant par la peur.

tu continue toujours ??

je vais m'y remettre c'est sur

ah ok !

C'est fini non ?

non, mais la, je veux éviter de trop parler francais (que je progresse un peu en anglais quand même). Mais je vais reprendre plus tard, c'est gentil de demandé

ok !
je me lance dans le graphisme !

super, mais rien a voir ^^

Ogame: floodeur un jour, floodeur toujours

Ok ! je voulais avoir votre soutient ! merde quoi !

a te voir ecrire on te croirais presque malheureux ^^

lol ... Allez Ogame Va y lance toi et épate nous ...

Ca devient du foutage de gueule !


Je

mais non, tout de suite, pourquoi voire le mal partout?

parce qu'il y est !

mais non, seulement le jours qui ont un "di"

Ok ! On est d'accord ! Il y est !